Série d’entretiens sur l’extractivisme proposée par Ruth Stegassy pour l’émission Terre à Terre diffusée sur France Culture

L’invitée de cette première partie est Anna Bednik, journaliste indépendante, auteur de « Extractivisme. Exploitation industrielle de la nature : logiques, conséquences, résistances » (Passager clandestin). La seconde partie diffusée le samedi 6 février 2016 avec des représentants de différents collectifs en Bretagne et ailleurs. La troisième partie : La forêt qui cache la déforestation La quatrième partie : On ne prête qu’aux ruches Le dernier volet sur l’extractivisme : De l’eau dans le gaz (et aussi dans l’or, le pétrole, le charbon…)

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Crash pétrolier en cours, attention gros dégâts !

Par Jacques Ambroise (le 02-02-2016) Mis à part une certaine presse spécialisée dans le secteur des hydrocarbures, le reste des médias dominants ne semble montrer aucun empressement à évoquer les conséquences tragiques d’une actualité pourtant devenue calamiteuse dans l’ensemble de ce secteur hautement stratégique. Si l’effondrement des cours du pétrole depuis juin 2014 satisfait les consommateurs occidentaux en soulageant quelque peu leurs dépenses grâce à la parcimonieuse baisse du prix des carburants à la pompe ou du budget chauffage, il n’en est pas de même dans les industries pétrolières, parapétrolières et financières. Comme anticipé par quelques-uns, le « boom » des gaz de schiste ne fut qu’un éphémère âge d’or et l’heure du repli a sonné. Il est communément admis que le seuil de rentabilité de l’exploitation des hydrocarbures de schiste se situe entre 70/80 $ pour permettre de couvrir l’amortissement des coûts industriels directs (matériels, forages, salaires, etc.), mais en réalité si l’on tient compte de la globalité économique en incluant les frais annexes (remboursement des emprunts, des intérêts, des assurances, etc.) ce seuil atteint plutôt les 100/110 $. Dès lors, on comprend aisément que depuis que le prix du baril est passé sous la barre des 70 $, les premiers […]

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APPEL A MOBILISATION

Le permis de Montélimar, qui couvre cinq départements du sud-est (Ardèche, Drôme, Gard, Vaucluse, Hérault), avait été abrogé en 2011 à la suite de la loi Jacob du 13 juillet 2011 interdisant la technique de fracturation hydraulique. La décision du Tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val d’Oise) était attendue. Le rapporteur public avait en effet préconisé le 8 janvier que Total puisse reprendre ses recherches, car le groupe s’était engagé à ne pas recourir à la technique de fracturation hydraulique. Le permis de recherche de Montélimar attribué à Total en 2010 a expiré le 31 mars 2015, en conséquence, le tribunal administratif ne dit pas qu’il rend le permis à Total. Les collectifs citoyens opposés à l’exploration–l’exploitation des gaz de schiste et gaz de houille demandent : Que le permis de Montélimar ne soit pas remis en vigueur; Que les 133 demandes de permis* en cours d’instruction sur le territoire français soient définitivement rejetées. Que le gouvernement, sur proposition du Parlement, prépare une loi interdisant toute exploration exploitation d’hydrocarbures non conventionnels, ainsi qu’il s’y était engagé pendant la campagne électorale de 2012. Que les accords de libre-échange TAFTA et CETA ne soient pas signés par nos gouvernants. * Données du Ministère […]

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Les 1001 Mines- Festival No Mine’s Land, épisode 0

« Il présente le festival No Mine’s Land auquel nous nous sommes rendu, en juillet dernier, en plein cœur de la Creuse. Nous y avons rencontré les différents collectifs et personnalités qui se battent contre l’ouverture ou réouverture des mines. Cette épisode 0 n’est qu’une introduction. » (par mediacoop) Plus d’info sur : www.mediacoop.fr

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Droits de la Terre Mère Campagne mondiale pour la reconnaissance universelle des droits de la nature… N’attendons plus !

« Aujourd’hui, en droit, la nature est traitée comme une propriété. N’ayant pas de personnalité juridique, elle ne peut pas être représentée devant les tribunaux. Pourtant, la nature sous toutes ses formes est un être vivant, doté du droit d’exister, de perdurer, de conserver et de renouveler ses cycles vitaux. Nous ne devons donc plus la considérer comme une propriété – une ressource à consommer. Nous faisons tous partie de la Terre Mère, communauté de vie indivisible impliquant des relations d’interdépendance. Pour la communauté scientifique et pour les citoyens du monde entier, il est évident que toutes les formes d’exploitation et de contamination de la Terre Mère ont causé d’importantes destructions et déprédations. Sur cette base, nous lançons aussi un appel à l’ONU pour qu’elle prenne en compte notre pétition pour l’adoption d’une déclaration universelle des droits de la Terre Mère. Au Sommet de la Terre Rio+20, qui s’est tenu en 2012, nous avons remis au Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, 116 758 signatures en provenance de 113 pays ainsi que les signatures de 189 organisations représentant 644 042 personnes. Nous continuons à récolter des signatures que nous présenterons à l’ONU lors de grands événements. » SIGNEZ LA PETITION ET AIDEZ-NOUS […]

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